Au-delà des limbes
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilRechercherDernières imagesS'enregistrerConnexion
-39%
Le deal à ne pas rater :
Ordinateur portable ASUS Chromebook Vibe CX34 Flip
399 € 649 €
Voir le deal

 

 Havan Kehln [Star Wars]

Aller en bas 
2 participants
AuteurMessage
Havan Kehln

Havan Kehln


Messages : 98
Date d'inscription : 11/04/2012

Feuille de personnage
Age du personnage: 41
Type d'univers: Star Wars
Métier/fonction: Chevalier Jedi

Havan Kehln [Star Wars] Empty
MessageSujet: Havan Kehln [Star Wars]   Havan Kehln [Star Wars] I_icon_minitimeMer 11 Avr 2012 - 20:12

Profil

[*]Nom : Havan Kehln
[*]Race : Humain
[*]Sexe : Masculin
[*]Âge : 41 ans
[*]Planète d'origine : Ondéron
[*]Apparence : Un homme de haute taille doté d’une musculature tout en nerfs forgée par des années d’entrainements puis une vie passée à la limite de la loi, voilà comment vous pourriez me décrire en quelques mots. Dans le rude métier des contrebandiers comme dans celui des jedi, une seconde d’hésitation risque trop souvent d’être la seconde de trop et le danger vous affine les réflexes mieux que n’importe quel entrainement. Autrefois, vous m’auriez le plus souvent vu vêtu d’une bure, ma longue chevelure soigneusement nouée dans mon dos et ma barbe taillée avec un soin méticuleux. Ces temps là sont révolus depuis longtemps. Désormais, ma chevelure en broussaille et mon visage mal rasé où perce un regard sombre et désabusé indiquent assez clairement que ma vie n’est plus aussi stable. Quand à mes vêtements, rien ne les distinguera de ceux du premier venu et ils ne sont pas de toute première fraicheur. Au sens propre comme au figuré, on peut aisément sentir que j’ai du dormir un certain nombre de fois en les portant.
[*]Métier : Contrebandier (ancien jedi)


Informations

[*]Histoire :
J’ai assez peu de souvenir de ma vie avant mon arrivée au temple de Coruscant. Mes parents appartenaient à la noblesse Ondéronienne et ne virent pas d’un très bon œil arriver les deux jedi qui leur expliquèrent que leur plus jeune fils disposait d’une affinité à la Force et devait rejoindre leurs rangs. Inutile de vous dire que ce départ d’Ondéron fut un déchirement, et ce malgré la gentillesse dont faisaient preuve les jedi. Durant le voyage vers Coruscant, le plus âgé vint s’asseoir à côté de moi. J’essayais de ne pas pleurer, me répétant inlassablement ce que me disait ma nourrice sur la fierté de notre famille dont les racines plongeaient des millénaires en arrière. Posant sa main sur mon épaule, il prononça ces mots que jamais je n’ai oublié depuis : « Mon garçon, les pleurs ne sont pas tous un mal. Tu apprendras avec le temps que même les jedi sont humains, refuser de l’admettre est une faiblesse ». Je ne saurais expliquer vraiment pourquoi, mais ces paroles m’apaisèrent quelque peu. Ce ne fut que beaucoup plus tard que j’appris qu’il s’agissait du comte Dooku, celui là même qui tuerait de sa main tant des nôtres.

Ainsi donc je rejoignis le temple. Dans les premiers temps, les novices dont je faisais partie suivirent l’enseignement de différents maîtres jedi, mais le plus souvent celui de maître Yoda lui-même qui suivait de près les nouveaux arrivants. Maniement de base du sabre laser, histoire de l’ordre, longues dissertations sur la Force et séances de méditation furent alors notre quotidien. L’ordre nous préparait à devenir de bons jedi respectueux du code et défenseur de la galaxie, mais l’inutilité de nombre d’entrainement me faisait bouillir. Depuis que j’entendais les récits des missions que nous menions, je brûlais moi aussi de faire mes preuves. Je devins quelques années plus tard le padawan de Stass Allie, le conseil estimant que le contrôle qu’elle exerçait sur ses propres instincts guerriers saurait m’aider à juguler les miens. Avec le temps, une profonde amitié nous lia tous les deux, et dire que j’idolâtrais Stass est assez proche de la vérité. Ses talents au combat alliés à sa volonté d’agir avant tout en guérisseuse me paraissaient être la plus parfaite nature du jedi, et années après années nous parcourûmes nombre de planètes, le plus souvent pour régler des différents avant que le sang ne se mette à couler.

Je venais d’être adoubé comme chevalier jedi lorsque la guerre des clones éclata, et comme tant d’autres de mes frères je me retrouvais au front, accompagnant mon ancien maître. Je ne participais toutefois pas à la bataille de Géonosis, maître Windu m’ordonnant de rester au temple avec les quelques jedi chargés de veiller à la sécurité des lieux et des novices. Pour frustré que je fus alors, je dois admettre aujourd’hui que je ne serais probablement pas sorti vivant de l’arène si je les avais accompagnés. J’ai beau être un duelliste doué, je ne saurais prétendre être un maître du sabre laser comme le furent les survivants du dernier cercle. Durant la guerre, Stass et moi ne nous quittions guère. En un sens j’en étais venu à la considérer comme une seconde mère, ou tout du moins comme une grande sœur.

Puis il y eu cette dernière mission après la bataille de Ciruscant, mission qui s’annonçait risquée mais importante. Je devais m’introduire dans un complexe militaire de la CSI afin de récupérer des informations sur le blindage des nouveaux croiseurs Providence de la confédération. Ces terribles machines de guerre apparues depuis peu pouvaient aisément contrer nos destroyers Venator, et la république recherchait désespérément des détails sur leurs caractéristiques techniques. Toujours est-il que l’ordre 66 fut donné alors que j’exécutais ma mission, ce qui assez ironiquement ma sauva la vie car aucun soldat clone ne m’accompagnait. Durant mon infiltration, je ressentis comme une gêne, un poids mental inhabituel que je mis tout d’abord sur la fatigue de ces derniers mois de guerre. Sot que j’étais de ne pas réussir à comprendre que mes frères tombaient par dizaines au même instant. Stass Allie elle-même venait de perdre la vie sur le champ de bataille de Saleucami.

Lorsqu’enfin je revins à mon chasseur avec les informations demandées, je captais en provenance du temple jedi le message des maîtres Kenobi et Yoda nous informant de la situation. L’Holonet diffusant des extraits du discours du nouvel empereur, je n’eus guère de difficultés à réunir les morceaux du puzzle et à comprendre que tous les jedi survivants allaient être traqués impitoyablement par Dark Vador. Pour l’avoir connu du temps où nous l’appelions encore Anakin Skywalker, je savais n’avoir aucune chance en duel contre ce terrible adversaire, sans même parler de Palpatine, aussi je pris le parti de faire profil bas. Nar Shaada fut ma sauveuse... la lune des contrebandiers est le lieu où tous les vices et tous les trafics se retrouvent, mais nul par ailleurs il n’est plus aisé de disparaître. L’empire ne pouvait ignorer que j’avais survécu à l’ordre 66, mais après quelques mois les recherches se calmèrent. L’empereur dirigeait l’empire d’une main de fer et semblait avoir d’autres préoccupations que de trouver les derniers jedi survivants.

En apprenant la mort de Stass, j’avais ressenti une violente colère et peu s’en fallut que je n’aille m’attaquer aux premiers stormtroopers que j’aurais rencontré. En y réfléchissant aujourd’hui, je me rend compte qu’alors je n’ai pas été loin de sombrer dans le côté obscur, et je crois avoir eu de la chance que le mépris que je ressentais pour tous ceux qui nous avaient regardé tombé ait été plus puissant que ma colère. Cette sombre période passée à me cacher et à vivre quasiment en ermite m’a fait abandonner les derniers principes des jedi. Le sentiment de trahison ne m’avait pas fait basculer du côté obscur, mais je ne me sentais plus redevable envers quiconque et je décidais d’abandonner la galaxie à son sort.

Afin de ne pas rester inactif, je fis l’acquisition d’un vaisseau cargo de classe Stalwart que je baptisais Iron I. Je ne m’étendrais pas sur la manière dont l’Iron I arriva entre mes mains, mais je dirais juste que certains crédits secrets alloués aux missions spéciales des jedi durant la guerre n’avaient pas encore été récupérés par l’empire, et que la Force m’aida à conclure la négociation. Ainsi équipé, je commençais une juteuse carrière de contrebandier. Ce métier me plaisait, faire passer des cargaisons sous les yeux des impériaux et éviter leurs patrouilles me rappelant l’époque de la guerre et la montée d’adrénaline lorsqu’un destroyer stellaire apparaissait valait bien tous les risques. Rangeant mon sabre laser, je ne m’en servis plus à partir de cette époque que pour quelques parades contre des droïdes d’entrainements dans la soute de l’Iron I, sans toutefois réussir à me débarrasser définitivement de ce dernier vestige de mon ancienne vie.

Les crédits mis de côté me permirent d’acquérir un cargo YT-2000 que j’ai modifié pour mon usage. On dit que les contrebandiers veillent sur leurs vaisseaux comme sur leurs propres enfants, et j’admets que l’Iron II est mon bien le plus précieux. Plus récemment, j’ai commencé à travailler pour les seigneurs du crime Hutts, en tant que contrebandier et parfois même comme chasseur de prime. Ces grosses limaces visqueuses me répugnent, mais ils paient bien pour une cargaison qui aura évité les contrôles impériaux. Je n’ai guère non plus de scrupule à leur ramener les escrocs, emprunteurs et petites fripouilles qui ont voulu jouer au plus malin avec eux. Ce qu’il advient d’eux une fois entre les mains des Hutts, peu m’importe.

Ma dernière mission pour les Hutts m’a amené jusqu’à Télos, afin d’y livrer une cargaison de fusils blaster pour un baron du crime local désireux de disposer d‘une puissance de feu apte à renforcer son poids lors des négociations avec ses pairs. Je m’attendais à ce que la cargaison de retour soit aussi encombrante qu’à l’aller mais il ne s’est agit que d’une simple caisse. Alors que l’Iron II filait en hyperespace vers Nar Shaada, je n’ai pas pu m’empêcher d’y jeter un petit coup d’œil indiscret et de lâcher un sifflement de surprise en y voyant un bon paquet d’Ixetal Cilona. Pour qui dispose d’un laboratoire, et je ne doute pas que mon employeur en ait un, il y a là une excellente matière première qui servira à fabriquer ces redoutables bâtons de la mort que les drogués de la lune des contrebandiers s’arracheront.

[*]Inventaire :
- 200 crédits
- sabre laser (lame bleue)
- blaster DC-17m

[*]Psychologie :
L’époque de mes nobles idéaux de jedi est révolue depuis bien des années. Plus jeune, je rêvais de sauver la galaxie, sabre au poing et avec la Force comme alliée. Les esclavagistes, les pirates, les droïdes de la CSI… je ne doutais pas que l’ordre jedi pourrait en venir à bout et ramener la paix. L’ordre 66 a fait voler en éclat mes certitudes. Voir les sénateurs soutenir Palpatine, voir la facilité avec laquelle nos alliés nous trahirent et l’indifférence générale que ce massacre provoqua dans l’opinion m’écœurèrent. Pendant des millénaires, nous avions veillé à maintenir la paix sans jamais chercher à prendre le pouvoir pour nous-mêmes, et voilà comment nous en étions remerciés ? Ce fut à ce moment là que je me jurais de ne plus jamais jouer les protecteurs pour de tels égoïstes. Désormais je penserai à moi-même et uniquement à moi-même. Je me suis depuis tenu à cette règle de vie, me désintéressant totalement de la souffrance que je voyais autour de moi. Non, je ne suis pas un homme cruel, et même l’ordre 66 ne m’a pas fait sombrer dans le côté obscur, mais je suis sans aucun doute un opportuniste et un égocentrique. Je règle mes problèmes, que les jedi qui ont survécu tentent de régler ceux de la galaxie. Moi, j’ai déjà donné.

[*]Affection : Je peux résumer mon affection principale en un seul mot : moi. Ma précieuse petite personne est devenue le centre de mon univers. Le sort des autres ne me touche plus guère, et je n’ai pas rencontré depuis bien longtemps d’homme ou de femme qui ait éveillé mon intérêt ou gagné mon respect.
[*]Aversion : Bien que je ne me considère plus comme un jedi, les exactions commises par les sith me révulsent toujours autant. Je hais l’empire et ce qu’il représente, je hais les tyrans de tout poil qui écrasent la galaxie sous leur poigne de fer. Je les hais, oui… mais ne comptez pas sur moi pour les combattre.


Force

[*]Grade : Chevalier
[*]Orientation : Gris
[*]Pouvoirs maîtrisés :
- pouvoirs de base : dissimulation de Force, persuasion de Force, poussée de Force, saut de Force, sens de Force, télékinésie, télépathie, traction de Force, vitesse de Force
- pouvoirs universels : lancer de sabre laser, vague de Force, stase de Force
- pouvoirs lumineux : guérison de Force, navigation jedi
[*]Styles : Shii Cho (I), Makashi (II), Soresu (III), Shien (V).


Environnement

[*]Vaisseau :
Nom : Iron II
Classe : Cargo YT-2000
Taille : 30 mètres de longueur
Vitesse : 75 MGLT - 950 km/h en atmosphère
Hyperpropulsion : classe 1
Soute : 115 tonnes métriques
Écrans déflecteurs : 320 SBD
Armement : deux tourelles quad-laser (dorsale et ventrale), 1 canon ionique
Équipage : 1 pilote, 1 copilote (optionnel), 1 droïde astromécanicien
Histoire : L’Iron II est un cargo de classe YT-2000 conçu par la Corporation Technique Corellienne, et quelque peu amélioré pour répondre au mieux à mes besoins. La principale différence de ce vaisseau par rapport aux gammes standards des YT est le remplacement de l’hyperpropulseur de classe 2 par un modèle de classe 1. Hors cela, l’Iron II reste dans la norme de ce type de vaisseau : double tourelle quad-laser et un canon ionique, de puissants boucliers déflecteurs de 320 SBD et une soute de 115 tonnes métriques. A noter que les tourelles disposent d’un système de tir automatique sur les cibles verrouillées par le pilote, ce système restant cependant moins précis que les commandes de tir manuelles mais parfait pour obliger d’éventuels assaillants à garder leurs distances le temps de rentrer les coordonnées d’hyperespace.

[*]Droïde :
Nom : R6-D4
Race : Droïde
Age : 3 ans
Constructeur : Industrial Automaton
Caractère : Neutre
Métier : Astromécanicien
Aime : Réparer l'Iron II
N'aime pas : Les Gizkas
Inventaire & Armes : Laser de forage
Histoire : R6-D4 est le droïde astromécanicien en charge de la maintenance de mon vaisseau. Ce petit tas de boulon n’a pas son pareil pour remettre en état un système défectueux, et je me demande souvent ce que je ferais sans son aide. L’Iron II n’a plus de secret pour lui et il va et vient sans cesse dans les couloirs à la recherche d’une réparation à effectuer. Bien que ses algorithmes d’attaques soient des plus rudimentaires, il dispose dans ses outils d’un laser de forage pouvant lui servir d’arme contre de petites cibles. J’ai retrouvé sur ce modèle les défauts et les avantages des excellentes séries R2 : très efficaces, les R6 ont eux aussi une fâcheuse tendance à développer une personnalité trop prononcée si l’on oublie de réinitialiser leur mémoire à intervalles réguliers.


Dernière édition par Havan Kehln le Lun 7 Mai 2012 - 19:40, édité 2 fois
Revenir en haut Aller en bas
Aethelhryth
Admin
Admin
Aethelhryth


Messages : 202
Date d'inscription : 06/10/2011

Havan Kehln [Star Wars] Empty
MessageSujet: Re: Havan Kehln [Star Wars]   Havan Kehln [Star Wars] I_icon_minitimeVen 13 Avr 2012 - 20:13

Revalidé et bon jeu à toi aussi ! Smile
Revenir en haut Aller en bas
https://audeladeslimbes.forumgratuit.org
 
Havan Kehln [Star Wars]
Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» [STAR WARS]Une mission en agréable compagnie [Havan]
» [STAR WARS] Un petit voyage dans la bordure extérieure... ça te tente ? [Havan]
» Star wars
» Ariyà Renhanda [Star Wars]
» [STAR WARS] Réapprendre à vivre

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Au-delà des limbes :: Par ici, voyageur ! :: Halte ! Qui va là ? :: Personnages actifs-
Sauter vers: